
Il n’est pas chose aisée que de se prêter à cet exercice, je vous l’accorde. Surtout lorsque l’on passe beaucoup de temps en dehors de soi, pour veiller au bien-être des autres. N’est-ce pas ?
La Directrice de l’agence à l’ouïe fine. Laure BUSTIN entend, car il faut au moins ça pour veiller au bien-être des membres de son équipe. Je pourrai aussi vous parler de son mode de pensée en arborescence, mais je n’ai que quelques dizaines de minutes devant moi. Je lui ai donc posé plusieurs questions, pour connaître d’un peu plus près, celle qui vient de fêter sa majorité professionnelle chez Graffiti.
Bonne lecture.
Ton meilleur souvenir chez Graffiti ?
La réponse ne se fit pas attendre : “Mon meilleur souvenir est sans nul doute l’instant à partir duquel Erwan a été embauché.” (Erwan lève les yeux vers nous, il est assis juste à côté)
“À moins que ça ne soit la première fois où j’ai vu Stéphane” (notre développeur vient d’entrer dans la pièce).
Bien sûr, aucun mot pour le rédacteur de l’agence, car moi, on ne me dit jamais rien…
Après les allées et venues des collaborateurs et avoir entendu plusieurs anecdotes de l’agence, Laure me confie garder un excellent souvenir de son arrivée chez Graffiti. Depuis longtemps, elle ne s’était pas sentie aussi bien dans sa vie professionnelle. Preuve en est, notre Directrice a choisi de préserver ce sentiment qui lui est apparu le 27 mars 2007. Joyeux anniversaire professionnel en retard.
Et côté perso ?
Pas plus tard qu’hier, Laure, la tête dans ses pensées (en arborescence je le rappelle) et les pieds dans ses baskets, dévalait les kilomètres dans les magnifiques parcs compiégnois.
Depuis plusieurs années, c’est le marathon de New-York qui lui trotte dans la tête. Alors, pourquoi pas horizon 2026 ?
Tes passions ?
Laure nourrit une passion singulière pour les séries policières. Découvrir des vérités cachées, faire marcher son esprit analytique et décoder les signaux. Cette appétence va de pair avec son travail sur l’art du questionnement, son amour pour l’histoire de l’art, qui l’emporte à chaque fois dans un voyage temporel, escorté par les émotions et cette fascination pour les talents qui semblent parfois flirter avec le divin.
Pour connaître Laure davantage, il nous faut écouter sa fille. Car à l’origine de l’adage “manger, marcher, musée”, elle nous aide à en savoir encore un peu plus sur la Directrice de l’agence.
Laure, c’est aussi des petites attentions, envers ses clients et surtout son équipe. Une âme qui semble puiser son bonheur dans la satisfaction de celui des autres. Car ce n’est pas le geste en tant que tel qui compte, mais tout ce qui le précède. À savoir, une écoute attentive, le souci de l’autre, une compréhension, un timing.
Un grand merci à Laure de s’être prêtée au jeu.
N’hésitez pas à lui glisser un mot en commentaire. À très vite aux côtés de la graffiteam.