Il y a quelques semaines, nous avons publié un post qui n’a pas du tout rencontré le succès habituel.
82 impressions seulement, contre 6106 impressions (nombre de fois où votre publication est apparue sur l’écran d’un utilisateur) sur notre précédent contenu. Un écart dans les statistiques qui a de quoi nous mettre la puce à l’oreille.
Nous avons rapidement compris pourquoi ce post n’a pas dépassé notre 1er cercle d’abonnés. En cause, la première image utilisée (un peu trop “osée” pour les standards LinkedIn) a entraîné une limitation automatique de la diffusion.
Sur les réseaux sociaux, on parle de “strike” lorsqu’une publication est signalée ou jugée non conforme aux règles de la plateforme. Il en découle une baisse de visibilité, voire blocage complet du post.
Pour une agence qui parle communication, référencement et SEO, c’est un bon rappel. Parce qu’avant de rédiger un post qui plaise, il faut d’abord s’assurer que celui-ci franchisse le 1er rempart appelé : algorithme.
Un événement qui nous rappelle combien il est important de répondre aux exigences de l’algorithme, que nous connaissons fort bien puisque nous suivons nos clients depuis plus de 3 ans sur le sujet.
Mais qu’il ne faut toutefois pas oublier pourquoi nous publions et surtout pour qui. Une publication Linkedin réussie, c’est un bon mélange entre SEO et UX (expérience utilisateur).
Nous pourrons revenir sur ce sujet dans d’autres publications !
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